GOTS

Pourquoi ce niveau de Good
+ Bonnes conditions d’emploi
+ Respect de l'environnement
+ Cultures sans pesticides
+ Traçabilité totale de la production

Le Good résumé de la situation

Les labels en prennent pas mal pour leurs grades quand on s’intéresse un peu à la question, mais si il y en a un qui ressort la tête haute c’est bien le label Global Organic Textile Standard ou GOTS pour les intimes.

En gros, cette petite étiquette – reconnue mondialement siouplé – certifie que tout est clean côté fibre naturelle cultivée sans peste chimique et qu’en plus tout cela est fait en respectant le droit des travailleurs (non parce que bon si t’as pas suivi la culture du coton par exemple a pas mal fait sué des personnes travaillant littéralement pour rien – et oui encore aujourd’hui c’est pas forcément super blanc-comme-une-fleur-de-coton tout ça.)

Le référentiel prend en compte tout de A à Z (fabrication, emballage, étiquetage, vente et distribution) de textiles composés d’au moins 70% de fibres naturelles. Mais attention subtilité, le label « GOTS biologique » (niveau 1) n’est attribué que si il y a au moins 95 % de fibres biologiques, en dessous l’étiquette affichera « compasé de fibres biologiques » (niveau 2). Bêêêê c’tait pas évident !

Pour + de Good Info

Lieux de production
Partout où pousse la matière naturelle et où ils ont la bonne idée de veiller à ces bonnes conditions.

Les faits
Le label est contrôlé, vérifié régulièrement et peut même bannir (publiquement) ceux qui essaient de l’obtenir sans en respecter les règles. Si ça c’est pas sérieux !

Un doute sur une marque, vous pouvez vérifier la base de données publique : https://www.global-standard.org/fr/base-de-donnees-publique/search/database/search.html Ca-non !
GOTS ne veut pas dire sans chimie : plus de 3200 colorants et 5800 adjuvants ont été autorisés mais ils doivent être conformes à un certain nombre d’exigences fondamentales sur la toxicité et la biodégradabilité/élimination

Ce n’est pas parce qu’on n’a pas l’étiquette qu’on ne la mérite pas. Avoir le label est complexe, justement parce qu’il est très exigeant, et comme toute certification il faut payer pour passer les contrôles.

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